- EAN13
- 3328140021370
- Éditeur
- Des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 07/09/2020
- Collection
- La Bibliothèque des voix
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
La jeune héritière mademoiselle de Chartres consent à épouser le prince de
Clèves à l’âge de 16 ans. Mais son mari se rend compte que la jeune fille ne
l’aime ni ne le désire vraiment et s’en désespère. Quand paraît le duc de
Nemours, elle s’en émeut et éprouve enfin ces sentiments et transports que
cherche en vain à lui inspirer son époux. L’attirance est réciproque, Nemours
cherche à assouvir sa passion, mais la princesse de Clèves lui échappe : en
elle, les premiers émois amoureux bataillent avec son éducation et le serment
de fidélité qu’elle a juré devant Dieu, sans avoir conscience de ce à quoi
elle s’engageait. « La plupart des mères s’imaginent qu’il suffit de ne parler
jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame
de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des
peintures de l’amour ; elle lui montrait ce qu’il a d’agréable pour la
persuader plus aisément sur ce qu’elle lui en apprenait de dangereux. » M. d.
L. F.
Clèves à l’âge de 16 ans. Mais son mari se rend compte que la jeune fille ne
l’aime ni ne le désire vraiment et s’en désespère. Quand paraît le duc de
Nemours, elle s’en émeut et éprouve enfin ces sentiments et transports que
cherche en vain à lui inspirer son époux. L’attirance est réciproque, Nemours
cherche à assouvir sa passion, mais la princesse de Clèves lui échappe : en
elle, les premiers émois amoureux bataillent avec son éducation et le serment
de fidélité qu’elle a juré devant Dieu, sans avoir conscience de ce à quoi
elle s’engageait. « La plupart des mères s’imaginent qu’il suffit de ne parler
jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame
de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des
peintures de l’amour ; elle lui montrait ce qu’il a d’agréable pour la
persuader plus aisément sur ce qu’elle lui en apprenait de dangereux. » M. d.
L. F.
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