- EAN13
- 9782307052814
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Imprimerie coopérative)
- Date de publication
- 1960
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Quelques francs-maçons vosgiens d'autrefois
Jean Bossu
FeniXX réédition numérique (Imprimerie coopérative)
Livre numérique
En marge de l’étude précédemment publiée sur les origines de la Franc-
maçonnerie dans les Vosges, Jean Bossu tente ici de faire revivre quelques
silhouettes caractéristiques de Francs-Maçons vosgiens ayant vécu hors des
Vosges. « Chacun d’eux fera connaître un des nombreux aspects de la maçonnerie
de jadis. Le lecteur connaîtra ainsi le goût des gens du siècle des
Philosophes pour le merveilleux et les spéculations théosophiques ; le
recrutement point du tout novateur des loges militaires ; le rôle d’entraide
fraternelle joué par l’Ordre pendant les guerres de l’Empire. Avec les deux
dernières études, nous verrons comment la génération formée par la Révolution
s’est trouvée écartelée entre d’une part l’héritage des idées nouvelles, et de
l’autre les tendances aristocratiques subsistantes. Enfin, l’on y verra que
Francs-Maçons d’autrefois et membres des académies de province eurent de bien
curieux contacts. »
maçonnerie dans les Vosges, Jean Bossu tente ici de faire revivre quelques
silhouettes caractéristiques de Francs-Maçons vosgiens ayant vécu hors des
Vosges. « Chacun d’eux fera connaître un des nombreux aspects de la maçonnerie
de jadis. Le lecteur connaîtra ainsi le goût des gens du siècle des
Philosophes pour le merveilleux et les spéculations théosophiques ; le
recrutement point du tout novateur des loges militaires ; le rôle d’entraide
fraternelle joué par l’Ordre pendant les guerres de l’Empire. Avec les deux
dernières études, nous verrons comment la génération formée par la Révolution
s’est trouvée écartelée entre d’une part l’héritage des idées nouvelles, et de
l’autre les tendances aristocratiques subsistantes. Enfin, l’on y verra que
Francs-Maçons d’autrefois et membres des académies de province eurent de bien
curieux contacts. »
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