- EAN13
- 9782366345810
- Éditeur
- Editions des Régionalismes
- Date de publication
- 04/01/2019
- Collection
- PRNG
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Relation complète du naufrage de la frégate "La Méduse" en 1816
A. Corréard, H. Savigny, d'Anglas de Praviel, Sander Rang des Adrets
Editions des Régionalismes
Prng
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782366345810
- Fichier PDF, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
10.99
En 1816, la France peut récupérer son comptoir africain à Dakar ; une
expédition confiée à un ancien émigré qui n’a pas navigué depuis 25 ans, Duroy
de Chaumareys doit y amener le nouveau gouverneur, troupes et passagers. La
flottille part de la rade de l’île d’Aix (Charente-Maritime) le 15 juin 1816.
Le 2 juillet, le commandant croit reconnaître le Cap Blanc : en réalité il
échoue la Méduse sur le banc d’Arguin, au large de la Mauritanie, et par beau
temps et marée haute ! S’ensuit un extraordinaire désordre parmi les 400
passagers. La Méduse est abandonnée mais le nombre trop réduit de canots de
sauvetage amène à devoir construire un radeau pour 152 naufragés pour la
plupart militaires. Très vite, en l’espace de 12 jours, le radeau devient le
théâtre de scènes épouvantables : la faim, la soif, les blessures, la folie,
les révoltes réduiront peu à peu le nombre des rescapés à seulement 15 puis
10...
Le naufrage une fois connu crée un véritable scandale mondial, amplifié par le
tableau qu’en peindra Géricault dès 1818.
Deux cents après, voici réunis les trois témoignages écrits par des survivants
du Radeau : celui de Corréard (ingénieur-géographe) et Savigny (chirurgien en
second) date de 1817 (remanié en 1821) ; celui du lieutenant D’Anglas de
Praviel (1858) tend à rectifier nombre d’assertions du premier récit ; le
dernier est le journal d’Alexandre Rang des Adrets (élève-officier de marine)
resté inédit jusqu’en 1946.
Des textes forts à redécouvrir, jamais réédités depuis bientôt 50 ans !
expédition confiée à un ancien émigré qui n’a pas navigué depuis 25 ans, Duroy
de Chaumareys doit y amener le nouveau gouverneur, troupes et passagers. La
flottille part de la rade de l’île d’Aix (Charente-Maritime) le 15 juin 1816.
Le 2 juillet, le commandant croit reconnaître le Cap Blanc : en réalité il
échoue la Méduse sur le banc d’Arguin, au large de la Mauritanie, et par beau
temps et marée haute ! S’ensuit un extraordinaire désordre parmi les 400
passagers. La Méduse est abandonnée mais le nombre trop réduit de canots de
sauvetage amène à devoir construire un radeau pour 152 naufragés pour la
plupart militaires. Très vite, en l’espace de 12 jours, le radeau devient le
théâtre de scènes épouvantables : la faim, la soif, les blessures, la folie,
les révoltes réduiront peu à peu le nombre des rescapés à seulement 15 puis
10...
Le naufrage une fois connu crée un véritable scandale mondial, amplifié par le
tableau qu’en peindra Géricault dès 1818.
Deux cents après, voici réunis les trois témoignages écrits par des survivants
du Radeau : celui de Corréard (ingénieur-géographe) et Savigny (chirurgien en
second) date de 1817 (remanié en 1821) ; celui du lieutenant D’Anglas de
Praviel (1858) tend à rectifier nombre d’assertions du premier récit ; le
dernier est le journal d’Alexandre Rang des Adrets (élève-officier de marine)
resté inédit jusqu’en 1946.
Des textes forts à redécouvrir, jamais réédités depuis bientôt 50 ans !
S'identifier pour envoyer des commentaires.