- EAN13
- 9782402044288
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Buchet Chastel)
- Date de publication
- 1989
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
« Essayiste brillant, critique respecté, journaliste averti, Edgar Reichmann
est aussi connu et admiré comme romancier. Il possède le don du conteur.
Accroché dès le départ, le lecteur ne lâche plus ses livres. Reichmann sait
trouver les mots justes pour décrire l’ambiance changeante de son pays natal,
la Roumanie : la peur, le soupçon, la cruauté, inspirés par un régime
totalitaire pour qui les êtres humains ne sont que des moyens méprisables, des
véhicules utiles mais sans plus ; l’antisémitisme dont souffrent les Juifs
ayant survécu au Nazisme ; le conflit des générations. Où s’arrête la
responsabilité et où commence la culpabilité ? Dans « Le Dénonciateur »,
Reichmann nous indique le sens de son œuvre future, « Le rendez-vous de
Kronstadt » et « Rachel » notamment. En entraînant le lecteur vers le royaume
terrifiant et enchanteur de la mémoire, il le confronte constamment à deux
pays, deux temps, deux pôles de tension, deux personnages principaux que le
destin rapproche puis sépare. Qui est Sacha Volinetz ? Comment cerner son
désespoir ? Comment accepter sa condamnation dans la capitale de la Roumanie
communiste ? À qui la faute ? Voilà les questions qui obsèdent son ami Ariel
Goldmann à Paris. A-t-il raison de se reprocher la mort de son ami ? Les
vivants seraient-ils donc toujours jugés par les morts ? D’une actualité
redevenue brûlante, ce roman se lit d’un trait. Grave et bouleversant, il se
veut à la fois rappel et avertissement. » Élie Wiesel
est aussi connu et admiré comme romancier. Il possède le don du conteur.
Accroché dès le départ, le lecteur ne lâche plus ses livres. Reichmann sait
trouver les mots justes pour décrire l’ambiance changeante de son pays natal,
la Roumanie : la peur, le soupçon, la cruauté, inspirés par un régime
totalitaire pour qui les êtres humains ne sont que des moyens méprisables, des
véhicules utiles mais sans plus ; l’antisémitisme dont souffrent les Juifs
ayant survécu au Nazisme ; le conflit des générations. Où s’arrête la
responsabilité et où commence la culpabilité ? Dans « Le Dénonciateur »,
Reichmann nous indique le sens de son œuvre future, « Le rendez-vous de
Kronstadt » et « Rachel » notamment. En entraînant le lecteur vers le royaume
terrifiant et enchanteur de la mémoire, il le confronte constamment à deux
pays, deux temps, deux pôles de tension, deux personnages principaux que le
destin rapproche puis sépare. Qui est Sacha Volinetz ? Comment cerner son
désespoir ? Comment accepter sa condamnation dans la capitale de la Roumanie
communiste ? À qui la faute ? Voilà les questions qui obsèdent son ami Ariel
Goldmann à Paris. A-t-il raison de se reprocher la mort de son ami ? Les
vivants seraient-ils donc toujours jugés par les morts ? D’une actualité
redevenue brûlante, ce roman se lit d’un trait. Grave et bouleversant, il se
veut à la fois rappel et avertissement. » Élie Wiesel
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