- EAN13
- 9782600315982
- Éditeur
- Droz
- Date de publication
- 2012
- Collection
- Cahiers d'Humanisme et Renaissance
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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D'une correspondance, l'autre. Lettres de Marie Delcourt et d'Aloïs Gerlo traducteurs de l'Opus epistolarum d'Erasme (1964-1979)
Marie Henriette Theunissen-Faider
Droz
Cahiers d'Humanisme et Renaissance
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782600315982
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27.99
En 1964, Marie Delcourt et Aloïs Gerlo se sont attelés à une entreprise sans
précédent : la traduction complète de la correspondance d’Érasme. Grâce à leur
travail, le public a eu accès à l’univers riche et varié de la pensée
personnelle de l’humaniste. C’est par lettres que les deux collaborateurs ont
échangé leurs réflexions, leurs hésitations et les décisions matérielles
indispensables. La plupart d'entre elles ont été conservées par la volonté
d’Aloïs Gerlo qui les a confiées à l’Université de Gand. Il s’agit là d’un
document de travail exceptionnel.
Marie Delcourt, traductrice chevronnée, y aborde avec sincérité et
clairvoyance les difficultés, les pièges inhérents à l’art de traduire, sans
taire les moments de fatigue et de découragement qui assaillent tout
traducteur et que les ouvrages théoriques sur le sujet négligent trop souvent.
Cette correspondance est aussi un témoignage de la ténacité et du sens de
l’organisation d’Aloïs Gerlo.
Le contraste entre le style vif, spontané, plein d’alacrité de Marie Delcourt
et la pudeur contenue de l’écriture de son correspondant, ainsi que la
progression d’une amitié fondée sur une estime réciproque, animent cette
correspondance et en rendent la lecture particulièrement enrichissante.
précédent : la traduction complète de la correspondance d’Érasme. Grâce à leur
travail, le public a eu accès à l’univers riche et varié de la pensée
personnelle de l’humaniste. C’est par lettres que les deux collaborateurs ont
échangé leurs réflexions, leurs hésitations et les décisions matérielles
indispensables. La plupart d'entre elles ont été conservées par la volonté
d’Aloïs Gerlo qui les a confiées à l’Université de Gand. Il s’agit là d’un
document de travail exceptionnel.
Marie Delcourt, traductrice chevronnée, y aborde avec sincérité et
clairvoyance les difficultés, les pièges inhérents à l’art de traduire, sans
taire les moments de fatigue et de découragement qui assaillent tout
traducteur et que les ouvrages théoriques sur le sujet négligent trop souvent.
Cette correspondance est aussi un témoignage de la ténacité et du sens de
l’organisation d’Aloïs Gerlo.
Le contraste entre le style vif, spontané, plein d’alacrité de Marie Delcourt
et la pudeur contenue de l’écriture de son correspondant, ainsi que la
progression d’une amitié fondée sur une estime réciproque, animent cette
correspondance et en rendent la lecture particulièrement enrichissante.
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