- EAN13
- 9782728312252
- Éditeur
- Publications de l’École française de Rome
- Date de publication
- 22/03/2022
- Collection
- Collection de l'École française de Rome
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L’héritage byzantin en Italie (VIIIe-XIIe siècle)
IV. Habitat et structures agraires
Publications de l’École française de Rome
Collection de l'École française de Rome
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782728312252
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Ce quatrième et dernier volume du programme L’héritage byzantin en Italie
(VIIIe-XIIe siècle), qui cherchait à analyser et à comparer l’évolution des
régions autrefois soumises à l’autorité byzantine, de la Vénétie à la Sicile
et à la Sardaigne en passant par Ravenne, Rome, Naples, le Salento et la
Calabre, a pour thème des realia. On s’est intéressé aux originalités touchant
à l’occupation du sol, aux formes de la grande propriété, aux contrats
agraires et aux platee (listes de dépendants), enfin à la production et au
commerce. La Sicile (sous les dominations byzantine et islamique) et la
Sardaigne judicale (souvent négligée) sont bien représentées, à côté des
diverses régions continentales ayant dépendu de l’Exarchat. Si, comme on s’y
attendait, les évolutions sont dissemblables, les conclusions de Chris Wickham
montrent la force de la tradition byzantine à propos de la grande propriété et
du commerce ; l’héritage byzantin n’est pas uniforme, mais, même dans ces
domaines éloignés de l’idéologie, il a laissé des traces durables.
(VIIIe-XIIe siècle), qui cherchait à analyser et à comparer l’évolution des
régions autrefois soumises à l’autorité byzantine, de la Vénétie à la Sicile
et à la Sardaigne en passant par Ravenne, Rome, Naples, le Salento et la
Calabre, a pour thème des realia. On s’est intéressé aux originalités touchant
à l’occupation du sol, aux formes de la grande propriété, aux contrats
agraires et aux platee (listes de dépendants), enfin à la production et au
commerce. La Sicile (sous les dominations byzantine et islamique) et la
Sardaigne judicale (souvent négligée) sont bien représentées, à côté des
diverses régions continentales ayant dépendu de l’Exarchat. Si, comme on s’y
attendait, les évolutions sont dissemblables, les conclusions de Chris Wickham
montrent la force de la tradition byzantine à propos de la grande propriété et
du commerce ; l’héritage byzantin n’est pas uniforme, mais, même dans ces
domaines éloignés de l’idéologie, il a laissé des traces durables.
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