- EAN13
- 9782809733686
- Éditeur
- Philippe Picquier
- Date de publication
- 06/11/2014
- Collection
- Littérature Grand Format
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Comment le lièvre eut la lèvre fendue
Et autres contes tibétains
William Frederick O'CONNOR
Philippe Picquier
Littérature Grand Format
Livre numérique
William Frederick O’Connor (1870-1943) était interprète lors de l’expédition
britannique Younghusband à Lhassa de 1903 à 1904. Il mit à profit ces deux
années pour recueillir un grand nombre d’histoires populaires et participa
ainsi à la diffusion en Occident de la culture tibétaine.« Au cours de mes
errances, j’ai découvert que ce peuple fascinant et si peu connu possédait un
riche répertoire de contes traditionnels, inaccessible au reste du monde, et
je me suis donc efforcé de recueillir autant d’histoires que possible. Chefs
de village, moines, domestiques, membres des gouvernements locaux, paysans,
commerçants – ceux-là et beaucoup d’autres ont contribué à mon recueil.
Timidement et de façon hésitante d’abord, avec beaucoup d’excuses et de
précautions, le conteur se livrait. Mais le public tibétain est l’un des
meilleurs que l’on puisse imaginer, sa gentillesse et son intérêt évidents
brisent rapidement la glace, et laissent libre cours à la parole. Je dois dire
à ma décharge que je n’ai en aucun cas tenté de les embellir ni de les
améliorer. Je les ai écrites telles que l’on me les a racontées, aussi
fidèlement que j’ai pu. »
britannique Younghusband à Lhassa de 1903 à 1904. Il mit à profit ces deux
années pour recueillir un grand nombre d’histoires populaires et participa
ainsi à la diffusion en Occident de la culture tibétaine.« Au cours de mes
errances, j’ai découvert que ce peuple fascinant et si peu connu possédait un
riche répertoire de contes traditionnels, inaccessible au reste du monde, et
je me suis donc efforcé de recueillir autant d’histoires que possible. Chefs
de village, moines, domestiques, membres des gouvernements locaux, paysans,
commerçants – ceux-là et beaucoup d’autres ont contribué à mon recueil.
Timidement et de façon hésitante d’abord, avec beaucoup d’excuses et de
précautions, le conteur se livrait. Mais le public tibétain est l’un des
meilleurs que l’on puisse imaginer, sa gentillesse et son intérêt évidents
brisent rapidement la glace, et laissent libre cours à la parole. Je dois dire
à ma décharge que je n’ai en aucun cas tenté de les embellir ni de les
améliorer. Je les ai écrites telles que l’on me les a racontées, aussi
fidèlement que j’ai pu. »
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