De l'Assassinat considéré comme un des Beaux-Arts
EAN13
9782824901954
Éditeur
République des Lettres
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Fiches UNIMARC
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De l'Assassinat considéré comme un des Beaux-Arts

République des Lettres

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Auteur des célèbres "Confessions d'un mangeur d'opium anglais" (que Baudelaire
popularisa avec "Les Paradis artificiels") et de nombreuses autres nouvelles
gothiques, essais biographiques et récits divers tous emplis d'humour noir et
d'ironie, Thomas De Quincey — qui fut journaliste chroniqueur de faits divers
— s'attarde ici dans un essai aussi noir qu'érudit sur le meutre. Composé de
trois parties écrites à différentes périodes (1827, 1839 et 1854), "De
l'Assassinat considéré comme un des Beaux-Arts" retranscrit d'abord une
"Conférence" du narrateur devant un club d'esthètes sachant apprécier comme
des oeuvres d'art les plus beaux assassinats de l'Histoire commis depuis Caïn
jusqu'au XVIIIe siècle, puis un "Mémoire supplémentaire" proposant de nouveaux
exemples notables (les Thugs étrangleurs de l'Inde, les Sicaires de Palestine,
etc), enfin un "Post-Scriptum" traitant des crimes particulièrement sanglants
commis dans l'Angleterre pré-victorienne par le tueur en série John Williams.
Au-delà de son ironie et de son aspect iconoclaste frôlant le macabre qui lui
valut d'être parodié par Edgar Poe et de figurer en bonne place dans
l'"Anthologie de l'humour noir" d'André Breton, "De l'Assassinat" est aussi
une profonde réflexion sur l'instinct criminel.
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