- EAN13
- 9791035109813
- Éditeur
- Publications de la Sorbonne
- Date de publication
- 25/03/2024
- Collection
- Histoire ancienne et médiévale
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Ces Rois mages venus d’Occident
L’Offrande des Mages dans les arts monumentaux de l’espace féodal
Mathieu Beaud
Publications de la Sorbonne
Histoire ancienne et médiévale
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791035109813
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14.99
Que dire encore aujourd'hui des Rois mages que nous reconnaissons sans
difficulté en tête de caravanes chargées des richesses de l'Orient ? Et si ces
Rois mages étaient en réalité venus d’Occident ? Si les Mages avaient été
couronnés non dans leurs lointaines contrées, mais dans les royaumes de
l’Europe féodale ? Le livre propose de suivre le voyage des Mages à travers
une tradition plus que millénaire, jusque dans les sculptures, peintures
murales et vitraux des églises des Xe-XIIe siècles. À une étape de ce voyage,
les magiciens païens ont reçu le plus haut insigne qui soit, la couronne
royale. C’est en tant que rois et mages qu’ils prennent corps dans les
consciences et dans les arts. En scrutant toutes les modifications des images
dans le temps, des plus remarquables aux plus inaperçues, et en les étudiant à
la lumière des textes, du rituel et de la place des décors dans
l’architecture, l’auteur invite à sonder l’imaginaire de la société féodale
pour découvrir ce qui fascine les populations de ce temps chez ces trois
hommes. La réponse ne se trouve ni en Orient ni dans les récits légendaires
mais dans la signification de leur acte de charité : un don à un enfant qui
est une offrande à Dieu.
difficulté en tête de caravanes chargées des richesses de l'Orient ? Et si ces
Rois mages étaient en réalité venus d’Occident ? Si les Mages avaient été
couronnés non dans leurs lointaines contrées, mais dans les royaumes de
l’Europe féodale ? Le livre propose de suivre le voyage des Mages à travers
une tradition plus que millénaire, jusque dans les sculptures, peintures
murales et vitraux des églises des Xe-XIIe siècles. À une étape de ce voyage,
les magiciens païens ont reçu le plus haut insigne qui soit, la couronne
royale. C’est en tant que rois et mages qu’ils prennent corps dans les
consciences et dans les arts. En scrutant toutes les modifications des images
dans le temps, des plus remarquables aux plus inaperçues, et en les étudiant à
la lumière des textes, du rituel et de la place des décors dans
l’architecture, l’auteur invite à sonder l’imaginaire de la société féodale
pour découvrir ce qui fascine les populations de ce temps chez ces trois
hommes. La réponse ne se trouve ni en Orient ni dans les récits légendaires
mais dans la signification de leur acte de charité : un don à un enfant qui
est une offrande à Dieu.
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