- EAN13
- 9782081236981
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 13/04/2010
- Collection
- GF LITTERATURE
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782081236981
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Pénétrer la Bourse, cette «caverne mystérieuse et béante, où se passent des
choses auxquelles personne ne comprend rien» : tel est l'un des buts que se
donne Zola en écrivant L'Argent (1891). Spéculation, fraude, liquidation,
krach : l'épopée de la Banque universelle fondée par Saccard pourrait être
l'histoire d'une grosse machine lente à s'ébranler puis formidable dans sa
destruction, conduite par un poète du million qui la chauffe jusqu'à la faire
éclater. Mais ici, l'argent ne se résume pas à la folie du gain. Du jeune
Sigismond, disciple de Marx, à la princesse d'Orviedo, figure de la charité,
le romancier esquisse une multitude de rapports à l'argent. Et fait apparaître
celui-ci, au bout du compte, comme une incroyable force de vie : «Je ne suis
pas de ceux qui déblatèrent contre l'argent, écrivait Zola. Je pars du
principe que l'argent bien employé est profitable à l'humanité tout entière.»
choses auxquelles personne ne comprend rien» : tel est l'un des buts que se
donne Zola en écrivant L'Argent (1891). Spéculation, fraude, liquidation,
krach : l'épopée de la Banque universelle fondée par Saccard pourrait être
l'histoire d'une grosse machine lente à s'ébranler puis formidable dans sa
destruction, conduite par un poète du million qui la chauffe jusqu'à la faire
éclater. Mais ici, l'argent ne se résume pas à la folie du gain. Du jeune
Sigismond, disciple de Marx, à la princesse d'Orviedo, figure de la charité,
le romancier esquisse une multitude de rapports à l'argent. Et fait apparaître
celui-ci, au bout du compte, comme une incroyable force de vie : «Je ne suis
pas de ceux qui déblatèrent contre l'argent, écrivait Zola. Je pars du
principe que l'argent bien employé est profitable à l'humanité tout entière.»
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