- EAN13
- 9782081414273
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 25/10/2017
- Collection
- Documents, témoignages et essais d’actualité
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Mes dernières pensées sont pour vous
Philippe Bouvard
Flammarion
Documents, témoignages et essais d’actualité
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782081414273
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
6.49 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782081414280
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
6.49 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Au terme d’une année de réflexion préalable qui lui a pris plus de temps que
l’écriture, l’auteur de ce modeste ouvrage a enfin compris ce que Pascal
voulait dire lorsqu’en 1647 il faisait amende honorable à la fin d’une très
longue missive adressée à une correspondante : « Excusez-moi. Mais je n’ai pas
eu le temps de faire plus court. » Peut-être pour se faire pardonner d’avoir
dans l’exercice du journalisme tant tiré à la ligne en délayant sur trois
feuillets ce qu’il aurait pu exprimer en trois lignes, Philippe Bouvard a donc
choisi la concision comme ultime cheval de bataille. Ainsi, pour cet ouvrage
qui constitue son chant du cygne, a-t-il parié qu’il pouvait traiter en trois
lignes des sujets méritant souvent trois feuillets. Avec le souhait de
divertir et de donner à penser aux lecteurs, ainsi que l’ambition de voir un
jour l’un de ses mille trois aphorismes se transformer en sujet du bac !
l’écriture, l’auteur de ce modeste ouvrage a enfin compris ce que Pascal
voulait dire lorsqu’en 1647 il faisait amende honorable à la fin d’une très
longue missive adressée à une correspondante : « Excusez-moi. Mais je n’ai pas
eu le temps de faire plus court. » Peut-être pour se faire pardonner d’avoir
dans l’exercice du journalisme tant tiré à la ligne en délayant sur trois
feuillets ce qu’il aurait pu exprimer en trois lignes, Philippe Bouvard a donc
choisi la concision comme ultime cheval de bataille. Ainsi, pour cet ouvrage
qui constitue son chant du cygne, a-t-il parié qu’il pouvait traiter en trois
lignes des sujets méritant souvent trois feuillets. Avec le souhait de
divertir et de donner à penser aux lecteurs, ainsi que l’ambition de voir un
jour l’un de ses mille trois aphorismes se transformer en sujet du bac !
S'identifier pour envoyer des commentaires.