- EAN13
- 9782307262398
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Bernard Grasset)
- Date de publication
- 1954
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Ce livre a été un des plus grands succès de librairie de l’entre-deux guerres.
Depuis longtemps épuisé, cet ouvrage reparaît. Gaétan Bernoville n’a apporté -
au texte primitif - que des rectifications légères, touchant dates et menus
faits. « C’est un cri d’amour, un chant de jeunesse, dit-il dans son avant-
propos à la présente édition, je n’y saurais rien changer. » Mais il y a
ajouté un chapitre, qui n’est pas une quelconque « actualisation », à
l’occasion des grandes fêtes de l’inauguration de la Basilique de Lisieux.
C’est un apport entièrement nouveau et substantiel, qui s’éclaire surtout de
la publication, depuis 1925, des Lettres de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus,
document capital et de certains textes, jusqu’alors inédits, des Novissima
Verba. Le premier à avoir souligné l’héroïque volonté, le crucifiant ascétisme
de la « Petite Sainte » de Lisieux et, par là, le premier à avoir ébranlé la
légende intolérable d’une Sainte mièvre, à l’eau de rose, Gaétan Bernoville
nous décrit aujourd’hui le cheminement mystique, prodigieux et prodigieusement
rapide, de Thérèse de l’Enfant-Jésus. Il y trouve la raison profonde d’une
gloire, dont l’universalité, l’éclat, le rayonnement croissant, sont
exceptionnels dans l’histoire de la sainteté française. Il en dégage enfin la
leçon pour notre temps. Ces pages neuves sont, par l’accent, sœurs jumelles
des pages anciennes.
Depuis longtemps épuisé, cet ouvrage reparaît. Gaétan Bernoville n’a apporté -
au texte primitif - que des rectifications légères, touchant dates et menus
faits. « C’est un cri d’amour, un chant de jeunesse, dit-il dans son avant-
propos à la présente édition, je n’y saurais rien changer. » Mais il y a
ajouté un chapitre, qui n’est pas une quelconque « actualisation », à
l’occasion des grandes fêtes de l’inauguration de la Basilique de Lisieux.
C’est un apport entièrement nouveau et substantiel, qui s’éclaire surtout de
la publication, depuis 1925, des Lettres de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus,
document capital et de certains textes, jusqu’alors inédits, des Novissima
Verba. Le premier à avoir souligné l’héroïque volonté, le crucifiant ascétisme
de la « Petite Sainte » de Lisieux et, par là, le premier à avoir ébranlé la
légende intolérable d’une Sainte mièvre, à l’eau de rose, Gaétan Bernoville
nous décrit aujourd’hui le cheminement mystique, prodigieux et prodigieusement
rapide, de Thérèse de l’Enfant-Jésus. Il y trouve la raison profonde d’une
gloire, dont l’universalité, l’éclat, le rayonnement croissant, sont
exceptionnels dans l’histoire de la sainteté française. Il en dégage enfin la
leçon pour notre temps. Ces pages neuves sont, par l’accent, sœurs jumelles
des pages anciennes.
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