- EAN13
- 9782923675466
- Éditeur
- Collectif Liberté
- Date de publication
- 15/10/2013
- Collection
- Liberté dossier
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Liberté 300 - Dossier - Nous ne sommes pas seuls
Réflexions sur le bien commun culturel
Pierre Lefebvre, Anne-Marie Régimbald, Pierre Nepveu, Alexis Martin, Alexis de Tocqueville, Jonathan Livernois, Thomas Hellman, Mani Soleymanlou, Michel Freitag, Gabriel Tremblay-Gaudette, Rosalie Lavoie, Catherine Dorion
Collectif Liberté
Liberté dossier
Livre numérique
-
Liberté 300 - Dossier - Nous ne sommes pas seuls
Aide EAN13 : 9782923675466- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
2.99
Vous trouverez dans cet extrait tous les articles du dossier «Nous ne sommes
pas seuls» tirés du numéro 300 de la revue Liberté. Du tollé suscité par
l’embauche d’un coach unilingue anglophone aux accommodements raisonnables, en
passant par les réflexes xénophobes d’un maire de région et le crucifix de
l’Assemblée nationale, ont ne compte plus les tensions entre le respect des
nouveaux arrivants, l’émancipation individuelle, l’héritage commun et
l’identité nationale. À l’approche de la Fête nationale, il nous est ainsi
apparu essentiel de nous pencher sur le sens de la nation et de la culture
commune. Les réponses sont nombreuses : Pierre Nepveu, biographe de Gaston
Miron, nous signale que, si notre langue est statistiquement fragile, elle
demeure riche de par sa littérature et qu’il est de notre devoir d’assumer à
la fois cette force et cette fragilité. Le chanteur et poète Thomas Hellman
nous explique que c’est lorsqu’il se tient à distance de ses multiples
identités d’origine qu’il évite l’exil, et le dramaturge Mani Soleymanlou que
c’est grâce au « Printemps étudiant » s’il se sent enfin québécois.
Finalement, la comédienne Catherine Dorion nous rappelle de quelle sournoise
façon le culte de l’argent désagrège, où que ce soit, le sens de la
communauté. Ne manquez pas les autres textes du dossier de Suzanne Beth,
Clayton Bailey, Michel Freitag, Jonathan Livernois, Alexis Martin, Anne-Marie
Régimbald et Alexis de Tocqueville.
pas seuls» tirés du numéro 300 de la revue Liberté. Du tollé suscité par
l’embauche d’un coach unilingue anglophone aux accommodements raisonnables, en
passant par les réflexes xénophobes d’un maire de région et le crucifix de
l’Assemblée nationale, ont ne compte plus les tensions entre le respect des
nouveaux arrivants, l’émancipation individuelle, l’héritage commun et
l’identité nationale. À l’approche de la Fête nationale, il nous est ainsi
apparu essentiel de nous pencher sur le sens de la nation et de la culture
commune. Les réponses sont nombreuses : Pierre Nepveu, biographe de Gaston
Miron, nous signale que, si notre langue est statistiquement fragile, elle
demeure riche de par sa littérature et qu’il est de notre devoir d’assumer à
la fois cette force et cette fragilité. Le chanteur et poète Thomas Hellman
nous explique que c’est lorsqu’il se tient à distance de ses multiples
identités d’origine qu’il évite l’exil, et le dramaturge Mani Soleymanlou que
c’est grâce au « Printemps étudiant » s’il se sent enfin québécois.
Finalement, la comédienne Catherine Dorion nous rappelle de quelle sournoise
façon le culte de l’argent désagrège, où que ce soit, le sens de la
communauté. Ne manquez pas les autres textes du dossier de Suzanne Beth,
Clayton Bailey, Michel Freitag, Jonathan Livernois, Alexis Martin, Anne-Marie
Régimbald et Alexis de Tocqueville.
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