- EAN13
- 9791024000121
- Éditeur
- Presses universitaires de Rouen et du Havre
- Date de publication
- 02/10/2013
- Collection
- Histoire & Patrimoines
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
De l'hospice au domicile collectif
La vieillesse et ses prises en charge de la fin du XVIIIe siècle à nos jours
Yannick Marec, Daniel Réguer
Presses universitaires de Rouen et du Havre
Histoire & Patrimoines
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791024000121
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27.99
« Près de trois siècles de vieillesse observée, analysée, située. Trois
siècles qui ont vu émerger les grands parents, au XVIIIe avec Greuze qui les
peint, et au XIXe, avec Hugo qui les magnifie, pour, de nos jours, les faire
osciller entre ceux qui aident et ceux qui sont aidés. Trois siècles qui ont
regardé la pauvreté des vieux devenus incapables de travailler et tombés à
charge de leurs proches et, à défaut, de la charité publique puis de
l'assistance et en fin de la solidarité. Trois siècles qui ont vu la naissance
des seniors, retraités actifs et, dit l'année 2012, solidaires des autres
générations : l’entraide équitable et symétrique va-t-elle supplanter la
relation nécessaire mais asymétrique de l’aide ? [. . .]
Le très grand intérêt et l’originalité [de ce volume] consistent à savoir
osciller harmonieusement entre le local et le global, entre l’enracinement
régional et la vision nationale, voire internationale. Ces travaux viennent de
disciplines, de spécialités diverses, comme est diverse la société elle-même.
L’accent est mis sur l’apport de la société à l’accompagnement de la
vieillesse, grâce à des politiques sociales qui traversent les républiques et
les gouvernements. De la généralisation des pensions de retraite qui fait
reculer la pauvreté des vieillards, au développement de la gériatrie qui
apprend à les soigner, à la modernisation de la gérontologie qui permet de
mieux accueillir et accompagner, l’ouvrage met en valeur ce que la société
fait pour ses anciens, même si, encore et toujours il y a plus et mieux à
faire. »
Extrait de la préface de Geneviève Laroque (†), présidente de la Fondation
nationale de gérontologie.
siècles qui ont vu émerger les grands parents, au XVIIIe avec Greuze qui les
peint, et au XIXe, avec Hugo qui les magnifie, pour, de nos jours, les faire
osciller entre ceux qui aident et ceux qui sont aidés. Trois siècles qui ont
regardé la pauvreté des vieux devenus incapables de travailler et tombés à
charge de leurs proches et, à défaut, de la charité publique puis de
l'assistance et en fin de la solidarité. Trois siècles qui ont vu la naissance
des seniors, retraités actifs et, dit l'année 2012, solidaires des autres
générations : l’entraide équitable et symétrique va-t-elle supplanter la
relation nécessaire mais asymétrique de l’aide ? [. . .]
Le très grand intérêt et l’originalité [de ce volume] consistent à savoir
osciller harmonieusement entre le local et le global, entre l’enracinement
régional et la vision nationale, voire internationale. Ces travaux viennent de
disciplines, de spécialités diverses, comme est diverse la société elle-même.
L’accent est mis sur l’apport de la société à l’accompagnement de la
vieillesse, grâce à des politiques sociales qui traversent les républiques et
les gouvernements. De la généralisation des pensions de retraite qui fait
reculer la pauvreté des vieillards, au développement de la gériatrie qui
apprend à les soigner, à la modernisation de la gérontologie qui permet de
mieux accueillir et accompagner, l’ouvrage met en valeur ce que la société
fait pour ses anciens, même si, encore et toujours il y a plus et mieux à
faire. »
Extrait de la préface de Geneviève Laroque (†), présidente de la Fondation
nationale de gérontologie.
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