- EAN13
- 9791026215424
- Éditeur
- Librinova
- Date de publication
- 15/01/2018
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791026215424
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
1.99
Au Moyen Âge, les pèlerins qui venaient à Saint-Jacques-de-Compostelle par
bateaux en provenance de l’Angleterre, de l’Écosse ou de l’Irlande,
descendaient dans l’un des ports de l’océan Atlantique. En parcourant le
Chemin du Nord ou celui de la Côte, nous avons pu constater ce fait. Dans les
grands ports de mer comme San Sebastian, Santander ou Laredo, des hospitals
étaient aménagés pour accueillir les pèlerins. Cependant, le chemin le plus
court pour arriver à Saint-Jacques-de-Compostelle consistait à utiliser les
ports d’A Coruña ou Ferrol. C’est ainsi que s’est tracé le Chemin anglais.
Comme la distance de ce chemin n’est que de 250 kilomètres, j’ai voulu ajouter
quelques difficultés, sinon ce court trajet ne valait pas la peine de
traverser l’Atlantique. C’est pourquoi je suis parti de l’aéroport de
Bruxelles à pied, sac au dos, pour me rendre à la maison de mon ami belge,
Roger Thomas, à Mariembourg, près de la frontière française. De plus, une fois
chez lui, d’un commun accord, nous avons décidé de refaire le Chemin de la
Côte, d’Avilés à Baamonde, afin de parcourir une distance d’au moins 800
kilomètres. Comme aucune route ne nous permettait de relier facilement
Baamonde à A Coruña, un petit train qui dessert les villages va nous amener au
point de départ de notre aventure.
bateaux en provenance de l’Angleterre, de l’Écosse ou de l’Irlande,
descendaient dans l’un des ports de l’océan Atlantique. En parcourant le
Chemin du Nord ou celui de la Côte, nous avons pu constater ce fait. Dans les
grands ports de mer comme San Sebastian, Santander ou Laredo, des hospitals
étaient aménagés pour accueillir les pèlerins. Cependant, le chemin le plus
court pour arriver à Saint-Jacques-de-Compostelle consistait à utiliser les
ports d’A Coruña ou Ferrol. C’est ainsi que s’est tracé le Chemin anglais.
Comme la distance de ce chemin n’est que de 250 kilomètres, j’ai voulu ajouter
quelques difficultés, sinon ce court trajet ne valait pas la peine de
traverser l’Atlantique. C’est pourquoi je suis parti de l’aéroport de
Bruxelles à pied, sac au dos, pour me rendre à la maison de mon ami belge,
Roger Thomas, à Mariembourg, près de la frontière française. De plus, une fois
chez lui, d’un commun accord, nous avons décidé de refaire le Chemin de la
Côte, d’Avilés à Baamonde, afin de parcourir une distance d’au moins 800
kilomètres. Comme aucune route ne nous permettait de relier facilement
Baamonde à A Coruña, un petit train qui dessert les villages va nous amener au
point de départ de notre aventure.
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