- EAN13
- 9782809842562
- ISBN
- 978-2-8098-4256-2
- Éditeur
- Archipel
- Date de publication
- 21/10/2021
- Nombre de pages
- 205
- Dimensions
- 21,6 x 13,3 x 1,8 cm
- Poids
- 252 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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On s'en souviendra !
Le port du masque n'empêche pas de marcher sur la tête
De Philippe Bouvard
Archipel
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Philippe Bouvard, espiègle chroniqueur de la vie comme elle va, a rempli son carnet de notes et de choses vues au cours de la folle année du Covid.
" C'était en septembre 2020, à l'orée de la deuxième vague. Entre deux confinements, j'avais retrouvé le chemin des tapis verts. Ce qui devait arriver arriva. Au lieu de toucher le jackpot, je contractai la souche historique du coronavirus... Les familiers se firent plus distants et les visiteurs plus rares. Quoique asymptomatique, j'avais l'impression d'être un pestiféré bien portant. Voire un cadavre encore capable de se tenir les côtes. Un grand merci à la providence qui m'a laissé le temps de devenir gâteux et de mourir d'autre chose que du covid ! "
Il n'y a pas d'âge pour faire de faux adieux. Sauvé par son appétit de vivre et sa contagieuse bonne humeur, Philippe Bouvard a donc rempli son carnet d'anecdotes, de réflexions et de choses vues au cours de cette folle période. Espiègle chroniqueur, il détaille ainsi, dans son soixante-huitième livre, sa " relation humoristicopolémique de notre calvaire viral ", posant un regard mordant sur la gestion politique de la crise – comme sur les absurdités du " monde d'après ".
" C'était en septembre 2020, à l'orée de la deuxième vague. Entre deux confinements, j'avais retrouvé le chemin des tapis verts. Ce qui devait arriver arriva. Au lieu de toucher le jackpot, je contractai la souche historique du coronavirus... Les familiers se firent plus distants et les visiteurs plus rares. Quoique asymptomatique, j'avais l'impression d'être un pestiféré bien portant. Voire un cadavre encore capable de se tenir les côtes. Un grand merci à la providence qui m'a laissé le temps de devenir gâteux et de mourir d'autre chose que du covid ! "
Il n'y a pas d'âge pour faire de faux adieux. Sauvé par son appétit de vivre et sa contagieuse bonne humeur, Philippe Bouvard a donc rempli son carnet d'anecdotes, de réflexions et de choses vues au cours de cette folle période. Espiègle chroniqueur, il détaille ainsi, dans son soixante-huitième livre, sa " relation humoristicopolémique de notre calvaire viral ", posant un regard mordant sur la gestion politique de la crise – comme sur les absurdités du " monde d'après ".
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